03/01/2008

100 dollars



La barre psychologique vient d'être atteinte... Hier, à New York, le baril de pétrole coûtait 100 dollars et des poussières, tout un symbole dans une société dopée à l'énergie. Cette "flambée" s'explique entre-autres par les violences au Nigéria qui est le premier producteur africain, mais aussi par la demande de plus en plus forte des pays dit "émergents", Chine en tête. Certes la faiblesse actuelle du dollars face à l'euro contribue en partie à un effet de gonflement des chiffres mais il n'empêche que l'ère du pétrole bon marché n'est plus à l'ordre du jour. Les énergies fossiles ne sont pas renouvelables et il va nous falloir nous tourner vers d'autres solutions. Loin d'être la panacée, les livraisons à vélo en ville présentent une amorce de réponse qui, nous l'espérons, feront bientôt partie d'un ensemble de solutions alternatives au tout-automobile.